Bonjour bonjour tout le monde, j'ai pas regardé la fiche modèle mais je connais le principe alors je suis désolé si c'est pas comme ça que Elea la voulait^^ bon alors:
Descripion physique: De taille moyenne mais assez baraqué, Ryale est un jeune homme de 17 ans aux cheveux noirs d'encre comme ses yeux. De se pratique assidue des arts martiaux, il a acquérit une démarche et une économie de geste impressionnante, féline, sauvage. Il a un tatouage tribal sur l'épaule gauche.
Morale : Sombre, renfermé sur lui même mais doté d'un charisme sans pareil, Ryale est toujours calme et maître de lui même ce qui le rend vraiment impressionnant quand sa colère se déchaîne.
Histoire: Tout est noir. Trop noir pour cacher autre chose que de la peur. De la souffrance. Seuls des flash résonnent encore dans l’esprit embrumé de Ryale. Une femme hurlant de douleur en se lacérant le visage de ses ongles, les yeux blancs, totalement vides, sans pupille ni iris. Cette femme que l’ont enterre trois jours plus tard. Cette femme qu’il n’a connu que quatre ans. Cette femme qui l’a mis au jour. Une femme comme les autres. Sauf pour lui. Il revoit nettement sa mère mourir sous ses yeux. Tué par un démon. Depuis ce jour il hait les démons. Il revoit ensuite son père perdre le sourire qui était toujours accroché à ses lèvres. Perdre les étincelles qui embrasait son regard. Perdre peu à peu le goût à la vie. Sa nouvelle vie au goût d’alcool et de larmes ne lui convient plus. A six ans, Ryale le trouve mort à son tour au pied de son immeuble, au milieu des pompiers. Il se revoit partir en courant. S’arrêter dans une forêt sombre. Pleurer jusqu’à la dernière larme. A nouveau tout est noir. Il ne se souvient plus. Il sait juste que maintenant, il est encore dans la forêt et que quelqu’un l’observe. Deux yeux jaunes aux pupilles verticales sont fixés sur lui. Lui, prostré par terre, du haut de ses six ans, lève les yeux vers l’intrus. Ce n’est pas un humain. Il est grand, très grand. Recouvert d’une longue fourrure grisâtre et de vêtements de cuir noir. Son faciès est celui d’un loup. Mais même un loup n’a pas des crocs aussi longs, et un regard aussi intelligent. Une langue rouge passe lentement sur les dents acérées pendant que dix longues griffes sortent avec un chuintement acéré. Dix promesses de mort. Ryale se lève d’un bond. Il n’arrive pas à la taille de ce monstre. Il se rappelle de conte pour faire peur de sa maman. Un loup garou. Un homme loup. Celui-ci semble plus loup que homme. La bête fait un pas. Si puissant et si rapide que Ryale l’a à peine vu. La patte arrive à une vitesse incroyable de férocité. Les griffes tendues vers la gorge réclament leur lot de sang. Elles ne l’auront pas. Ryale passe sous le bras tendu si vite qu’il en devient invisible. Puis, il passe entre les jambes écartée du prédateur et se met à courir. Le loup-garou hurle de rage, se retourne et part à sa poursuite. Il court aussi vite que le vent. Personne ne peut le distancer à la course. Ryale le distance. Il ne touche même plus le sol. Il file plus vite que la pensée. Il s’arrête devant une maison, toque à la porte. Un vieil homme lui ouvre. Ryale lui tombe dans les bras en pleurant. L’homme attendrit lui prend la main et l’emmène à l’intérieur du chalet.
- Je t’attendais Ryale, lui dit l’inconnu d’un ton chaleureux. Depuis bien longtemps.
Ryale le regarde et lit la bonté dans ses yeux. Il ne s’étonne pas qu’un homme perdu dans la forêt connaisse son nom. Ce n’est pas la préoccupation des enfants de six ans.
Ryale regarde la pierre intensément. Il pénètre mentalement chacune de ses fibres, les analysent, les caresse et apprend. Il apprend vite. Très vite. Maître Fratley est très impressionné. Il regarde son élève fermer les yeux, et ouvrir les paumes de main. Puis, la pierre s’envole du sol lentement et semble se transformer. Comme si elle était faite de liquide et non de solide, elle sembla se modeler puis adopta la forme d’un long bâton.
- Très bien, commenta Fratley dans un souffle. Continue.
Ryale n’avait pas ouvert les yeux. Il sembla se concentrer plus intensément et le bâton de pierre changea de texture. Changea de matière. La pierre devint bois.
- Excellent, reprit Fratley d’un ton plus convaincu.
Il se leva sans difficultés malgré son vieil âge et regarda Ryale rouvrir les yeux. C’était maintenant un grand gaillard de 17 ans, musclé et grand, au regard brûlant et au tempérament calme. Il se saisit du bâton, sourit à son maître et se mit en garde. Fratley leva un sourcil amusé et tendit le bras. Immédiatement, un deuxième bâton jaillit du sol, aussi soudainement que s’il l’avait attendu. Maître Fratley se mit en garde et regarda son élève dans les yeux.
- Tu penses avoir une chance ? lui demanda le maître.
- Pas la moindre ! répondit Ryale en attaquant.
Il attaqua, plus vite que le vent, plus puissant que la foudre. Un coup latéral qui aurait assommé un taureau enragé. Le maître le para avec une facilité déconcertante. Ryale enchaînait coup sur coup, si rapide que sa silhouette en devenait floue, frappant du pied et du bâton. Le maître n’attaquait pas, il se contentait de parer absolument tout. Puis Ryale recula d’un pas et avec un grognement, leva son bâton dans le vide. Un énorme bloc de terre de souleva du sol. Ryale le frappa avec un rugissement d’effort. La masse fila vers le maître qui ne bougea pas. Le projectile était devenu une nuée de pétales de rose. Ryale déchaîna alors son pouvoir. Des arbres entiers filèrent vers le maître, des crevasses insondables se formèrent, des éclairs plurent du ciel soudainement assombri. Rien ne marchait. Puis, le maître frappa du tranchant de la main dans le vide. Une lame d’air entailla profondément la chair du bras de Ryale qui se referma aussitôt sous l’action de la volonté de son propriétaire. Mais le sang avait coulé. Il avait perdu. Comme toujours.
- Tu es prêt à partir Ryale.
Celui-ci leva des yeux incrédules vers son maître, presque effrayé par ces quelques mots.
- Que voulez-vous dire ? Partir où ?
- Depuis toujours, tu cherches des réponses. Pourquoi ta mère est morte. Pour quoi tu as un pouvoir. Pourquoi, pourquoi, pourquoi… Je n’ai pas réponse à tout. Et le seul vrai apprentissage est celui de la vie. Tu dois partir. Parce que au fond de toi, c’est ce que tu veux.
Comme toujours, le maître avait parler avec calme et autorité. Mais cette fois-ci, il y avait un peu de chagrin au fond des sentences neutres et atones du vieil homme. Ryale comprit qu’il avait raison. Un nouveau besoin s’embrasa en lui. Un besoin d’espace. Un besoin d’aventure. Un besoin d’aller plus loin que personne avant lui.
Pouvoirs : Ryale à une capacité inée d'harmonie avec son environnement. Il le comprend, le sent, l'entend et lui parle. Il peut ainsi donner des ordres à des objets apparements sans conscience ni vie comme la pierre, le vent ou les arbres. il a aussi un don inné de la vitesse. Il court plus vite que vite. Il est si rapide qu'il peut rattraper la pensée à la course. Il se bat à main nues ou avec un bâton et à une maîtrise incroyable des arts martiaux doublée d'une grande force physique et mentale.
Ven 17 Aoû - 17:47
Par contre on peu avoir du mal à cerner tes pouvoirs donc si tu pouvais en faire une petite descripition rapide genre; contrôle la nature, enfin tu vois ce que je veux dire ^^ En attendant bienvenu à toi 
shekil) je changerais.